Si je peux me permettre

Que vois-je à l’horizon ? Ça m’a tout l’air d’une personne belliqueuse qui souhaiterait exprimer le fantasme de l'association destructive et sadique du sexe et de la mort, tout en pensant à dépasser ses besoins pervers d’un désir exacerbé narcissique d'auto-admiration… en tous cas, selon Wikipédia… Où il est question de films, séries, jeux vidéo qui nous emmènent dans le monde merveilleux des cereales-killers, à prendre pour son petit dej’. Avec des gens attachants (qui préfèrent surtout vous attacher) avant de vous faire manger votre propre foie, qui ne sont pas tous seuls dans leur tête, qui vous suivent un peu trop sur les réseaux-sociaux, qui vous aident louent un appartement au 3e droite, qui torturent, font des testament et qui envoient des lettres et des têtes par voie postale..

... quoi??? Je suis un ma...ma... gicien ? C'est pour ça que j’avais toutes ces plumes de Colombes et crottes de lapin dans mon lit le soir ? Où il est question de films, séries, jeux vidéo qui nous transportent dans le monde merveilleux et enchanteur des contes et autres fables de lutins, fées, sorciers, sourciers – en cas de besoin de puits - et autres nécromanciens des temps modernes ! Découverte d’une belle série des années 90 passées sous lifting dynamisant et sombre à souhait, d’étudiants a la fac de magie, d’un vrai magicien qui se mettait dans un tonneau au-dessus des chutes du Niagara, du célèbre Harry dont-on-ne-prononce-plus-le-nom, d’un qui-pro-quo d’illusionnistes, du meilleur mentaliste de notre génération, d’un docteur étrange, d’un voyage enchanteur, d’un service de livraison par balais volant, d’un prince amnésique et bien sûr, d’une terre plate soutenue par 4 éléphants, eux même sur un dos de tortue géante. Bref, un monde bien morne et ordinaire...

Où il est question de films, séries, jeux vidéo qui vous cassent le crâne par leurs fins incroyables, leurs twists démesurés (car on sait bien que Twister c’est parti, le fou rire est garanti). Découvrir un monde dystopique, une ville dont on ne peut pas s’échapper avec un problème de criquets, un rêve d’un rêve d’un rêve, une musique magistrale, une histoire qu’on oublie, une histoire qu’on oublie et une histoire qu’on oublie, sans oublier de se faire l’avocat du Diable pour un livre qui est bien plus qu’il ne semble, avec un joli jeu splitté en 4. Bonne écoute !

Où il est question d’une ombre qui file dans la nuit (c’est surement un assassin qui s’enfuit), mais sait-on jamais, peut-être va-t-elle endosser une perruque et vous poignarder dans la douche, ou vous raconter ses méfaits sur magnétophone sans oublier ses conflits avec sa mère tant aimée, ou bien vous envoyer des codes à déchiffrer sous des logos de montre de plongée, ou même vous offrir des Dahlias (noires, de préférence) en résolvant des puzzles en ligne… Bref, tout ça nous parait bien louche… surtout si on commence à rencontrer nos doubles du futur…

Où il est question de re-enfiler les santiags pour un second tour de poney vers le Far Far West !